Je souhaite partager avec vous ma propre expérience.
Mon premier poste professionnel m’amène à Strasbourg. Je connais très mal la région et la ville, étant originaire de Nancy.
Pour lier des connaissances amicales dans ma nouvelle ville d’adoption, je m’inscris à un cours de danse de salon. Et j’adore ça !
Alors j’enchaîne les années de danse de salon et je me mets à la compétition. Les entraînements s’intensifient, malmenant légèrement le corps et surtout le genou. Mais la douleur n’est pas grand-chose comparée à l’idée de me mesurer aux meilleurs de la région.
C’est un nouveau challenge qui me stimule au plus haut point.
Ma première compétition se passe, et mon partenaire et moi faisons un score honorable.
On s’engage sur une deuxième compétition à domicile. On fait un podium, mais mon genou est resté sur le podium également. Impossible de descendre, j’ai dû être maintenue. On me conseille de voir un orthopédiste du sport pour traiter mes douleurs de genou et me rééduquer afin que je poursuive mon parcours en compétition régionale.
Et c’est là que tout se complique…
Les traitements ne fonctionnent pas, et je dois renoncer à la compétition et même à la danse…
La douleur me handicape dans mon quotidien.
Je travaillais auprès des enfants, et m’accroupir pour me mettre à leur hauteur et me relever devenait un enfer.
Mon médecin me dit que le seul traitement pour moi est la pose d’une prothèse, mais à 40 ans, cette opération n’est pas pratiquée.
Mon quotidien devient un enfer : je souffre la semaine et je me mets au repos complet le week-end pour pouvoir espérer reposer le pied parterre la semaine suivante…
Je refuse de vivre en fonction de mon genou.
Dernière solution, trouver un moyen de soulager mes douleurs en explorant des techniques alternatives non invasives.
Ma première technique sera la lithothérapie. Une amie m’avait déjà parlé de cette technique.
J’achète une malachite roulée pour la conserver dans ma poche, et une autre en plaque pour la maintenir sur mon genou avec une bande pendant toute la nuit.
Et je constate rapidement que ma douleur a disparu.
Pour me renseigner sur les soins qui peuvent m’aider, je fais les salons bien-être.
C’est comme cela que je découvre le dien chan. Je prends un rendez-vous, mais pas pour le genou, car je n’ai plus de douleur, mais pour des problèmes de colopathie chronique.
La technique me bluffe tellement que je décide de me former pour pouvoir l’utiliser quand j’en ressent le besoin.
C’est comme cela que je me traite depuis une quinzaine d’années avec la lithothérapie et le dien chan.
Durant toutes ces années, j’ai poursuivi mes formations dans ces disciplines par pur plaisir.
Si ça marche sur moi, ça peut marcher pour d’autres… Et voilà l’histoire de la création de mon salon bien-être Lithodienchan.
Je ne prétends pas que mes soins guérissent, ni qu’ils doivent se substituer à la médecine conventionnelle, mais que les deux approches sont complémentaires et que mes soins peuvent accompagner le suivi médical classique.
Alors venez tester et vous faire votre propre opinion.